Pédale douce

Comme le titre le laisse entendre, je vais parler ici de pédales qui se sont font, en ce moment, de plus en plus présentes.
Bien évidemment, il ne sera nullement question ici d'homosexuels même s'ils sont de plus en plus nombreux à afficher leurs préférences sexuelles au grand jour. A croire que l'effet combiné Steevy/Christophe "La Tortue" Willem s'est transformé en véritable Tsunami sociétal. Cela fera sûrement l'objet d'un prochain billet, tant ce phénomène a pris, selon moi, une importance jamais vue jusqu'à présent.

Bref, point d'homosexuels donc et place à la petite reine (sans aucun lien entre les deux ni vilain jeu de mots)
A moins que vous n'ayez pas la télé sur votre lieu de vacances, que vous ne lisiez aucun quotidien, que vous n'ayez aucun moyen de surfer sur le net et que vous viviez sur une île déserte sans aucun moyen de communication ni repère temporel, vous ne pouvez ignorer que plusieurs dizaines de coureurs cyclistes arpentent nos contrées pour un tour de France qui passe par l'Angleterre et la Belgique (ce qu'aurait particulièrement apprécié nombre de nos anciens rois et empereur), partant à l'assaut d'un maillot jaune qui n'est vraiment pas à la mode, gravissant les Pyrénées plus rapidement que vous ne le feriez en voiture, imitant le bronzage de nos chers agriculteurs méritants et niant tout soupçon de dopage au motif que "au guidon, celui qui se dope c'est celui qui ne pédale pas".
Le cyclisme, c'est comme tout le reste, on aime ou on aime pas.
Personnellement, je n'aime pas, mais alors pas du tout. Les étapes sont trop longues, les commentateurs fatigants, les images saccadées et le suspens inexistant.
N'empêche, il passe par chez moi avant de retrouver les Champs Elysées.
Devrais-je m'en réjouir ? En toute logique, non. Et encore moins cette année car les organisateurs ont eu la bonne idée de les faire passer au bout de ma rue et d'en faire dormir une partie près de mon lieu de travail, le tout un jour de semaine. Autrement dit, ça va être la galère pour quitter mon domicile, aller bosser et rentrer chez moi le soir venu. Bien évidemment, pas question de rentrer déjeuner à la maison comme d'habitude.
Vous pouvez pas savoir à quel point je suis ravi de savoir tous ces hommes sur leur valeureuse monture faire étape dans ma ville.
Reste à savoir combien d'entre eux ont ou vont avouer leur homosexualité. Ça me fera une bonne introduction pour mon prochain sujet.

Comments

[annemarie]

Ton blog se trouve sur mes favoris...je trouve qu'il n'est pas à jour...trop de boulot, trop de loisirs, trop de blues, trop...en espérant que tu es en forme !
Depuis Août, rien de spécial, Louise a soufflé 1/2 bougie, Coline a investi la classe maternelle des "moyens". Mes 4 viennent ici pour Noël, c'est extra + Gabarnac + Marseille, nous voilà 18 adultes..Annemarie, à tes menus !
Donnes-moi quelques nouvelles. Bisous.